La mega - conferenza é iniziata ieri, 6 Dicembre con una massiccia partecipazione di tutte le delagazioni delle 37 Nazioni da anni beneficiarie dei fondi della BAD
Il risultato ufficiale:
Fra i partecipanti brillano i numerosi governi dove la democrazia é solo un modo di dire.. e dove la spartizione del bottino é una consolidata tradizione..
Basti pensare ai milioni di dollari dati dallo Zimbawe come "liquidazione" ad un arcaico e vetusto dittatore ed alla sua giovanile e vorace mogliettina..
In realtà una occasione per incontri e per avviare nuove relazioni sia politiche che economiche..
una delle solite, tante, frivole ed inutili "esortazioni" ai governi africani per una buona gestione delle loro risorse..
Ma non ci si poteva certo aspettare altro..
Les projecteurs se sont éteints sur la 12e édition de la Conférence économique africaine (AEC), le 6 décembre 2017 à Addis-Abéba,
Ethiopie, où les participants ont plaidé pour que la gouvernance demeure une priorité des programmes de développement de l’Afrique.
Au terme des travaux, les chercheurs, décideurs politiques, responsables des secteurs public et privé africains ont exhorté les
gouvernements africains à mettre la gouvernance au cœur de leur programme.
Les avis ont été unanimes :
Adam Elhiraika, directeur de la division pour la politique macroéconomique de la Commission économique pour l’Afrique (CEA),
s’exprimant au nom de Vera Songwe, la secrétaire exécutive de la CEA, a ainsi souligné que la gouvernance est un facteur déterminant
dans la transformation structurelle des économies et du développement inclusif.
« J'espère que le résultat de cette conférence aidera tous les chercheurs, les décideurs et les trois institutions partenaires à soutenir
la transformation de l'Afrique et les efforts de l'Afrique pour améliorer la gouvernance pour la transformation structurelle",
La conférence ne peut pas être une fin en soi.
Ce doit être un moyen pour une plus grande aspiration, une aspiration d'une Afrique réformée et prospère en paix avec elle-même. »
La Banque africaine de développement (BAD) a abondé dans le même sens. S’exprimant au nom du vice-président et économiste en chef de la BAD,
Célestin Monga, Abdoulaye Coulibaly, directeur par intérim du département de la Gouvernance, a décrit la gouvernance comme un des sujets
les plus importants, voire critiques, susceptibles de renforcer les résultats économiques,
tout en permettant d’améliorer le quotidien des populations africaines.
« Nous avons abordé un sujet comme étant le sujet le plus important pour le développement de l’Afrique :
Lamin Momodou Manneh, directeur du Centre de services régional du PNUD pour l'Afrique, a quant à lui, affirmé que la trajectoire
de croissance à long terme de l'Afrique dépend de la gestion efficace des déficits de
gouvernance politique, économique, sociale et environnementale.
« La bonne gouvernance demeure le facteur crucial dans l'éradication de la pauvreté en Afrique »,
Il a par ailleurs insisté sur le rôle de l’Etat dans la mise en place d’institutions fortes et la dépolitisation de
la gouvernance en vue de la mise en œuvre de l’agenda 2063.
Manneh a également remercié le Premier ministre éthiopien, Hailemariam Desalegn, d'avoir lancé officiellement
la conférence et
Cette douzième édition a enregistré la sélection de 36 papiers sur 406 reçus,
après un processus de sélection rigoureux.
Deux jeunes chercheurs ont été primés dans le cadre des meilleures présentations de papiers :
L'événement annuel de trois jours, organisé conjointement par la Commission économique des Nations Unies pour l'Afrique
(CEA), la Banque africaine de développement (BAD) et le Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD) a
réuni près de 500 participants comprenant des responsables gouvernementaux, des chercheurs et bien d’autres
acteurs du développement.
Des sommités internationales, faisant autorité dans le domaine de la recherche sur la gouvernance, étaient présentes.
La conférence a donné lieu à de riches échanges, à des débats contradictoires, et à des réflexions innovantes sur la
meilleure manière de faire avancer la gouvernance en Afrique, sans cantonner la gouvernance à sa perception
comme un prérequis ou une conditionnalité pour l’aide au développement, comme c’est trop souvent le cas.
L’édition 2018 de la Conférence économique africaine sera organisée par le PNUD.
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Pour plus d’informations sur la Conférence économique africaine :
Hashtag officiel : #AEC2017
Suivez-nous sur Twitter : @AfDB_Group, @ECA_OFFICIAL, @UNDPAfrica, @UNDPEthiopia
À propos du Groupe de la Banque africaine de développement..
Le Groupe de la Banque africaine de développement (BAD) est la première institution de financement du développement en Afrique.
Présente sur le terrain dans 37 pays africains et bénéficiant d’un bureau extérieur au Japon,
la BAD contribue au développement économique et au progrès social de ses 54 États membres de la région.
Site Internet : http://www.afdb.org/fr/
À propos de la CEA
La Commission économique des Nations unies pour l’Afrique, qui a son siège à Addis-Abeba,
en Éthiopie, a été créée en 1958.
Elle a pour mandat de promouvoir le développement économique et social de ses États membres,
de favoriser l’intégration intra-régionale, et de promouvoir la coopération internationale en faveur du développement de l’Afrique.
Site Internet : www.uneca.org/fr
À propos du PNUD
Le PNUD forge des partenariats à tous les niveaux de la société pour
aider à construire des nations résilientes, afin de mener à bien une croissance qui améliore la
qualité de vie de chacun.
Présents dans 170 pays et territoires, nous offrons une perspective mondiale et des connaissances locales au service
des peuples et des nations.
certes, les économies africaines sont parmi les plus dynamiques du monde,
mais une meilleure gouvernance permettrait d’accélérer leur transformation, pour que la croissance profite à tous.
a-t-il déclaré.
la transformation structurelle de nos économies. Nous sortons de ces trois journées de débat très renforcés pour être les agents
du changement, pour améliorer le quotidien des populations… »,
s’est félicité Abdoulaye Coulibaly.
a déclaré Manneh, représentant Abdoulaye Mar Dieye, directeur régional pour l’Afrique du PNUD.
« d'avoir partagé sa vision d'une Afrique prospère ».
un étudiant doctorant de l’université du Bénin au Nigéria et un autre de l’université Cheikh Anta Diop du Sénégal.
« Le lieu sera annoncé en temps voulu, a déclaré Manneh.
Nous travaillons déjà sur l'identification du thème de la prochaine conférence ».
www.afdb.org/aec
Il comprend trois entités distinctes :
la Banque africaine de développement (BAD), le Fonds africain de développement (FAD) et le Fonds spécial du Nigéria (FSN).
http://www.undp.org/content/undp/fr/home.html
( BAD / G. Comerio )