Un altro piccolo "regalo" alla costa d'Avorio.
24 milioni di euro per fornire circa 100mila kit composti da pannello solare, batteria, centralina con inverter..quadro elettrico,
cablaggi..prese.. salvavita.. e poi forse pure le lampadine..
Secondo le dichiarazioni "politiche" si andrebbero a fornire 100mila abitazioni..ma già i conti sembrano claudicanti..
Infatti 24milioni di euro diviso i 100mila kit da fornire vorrebbere dire che un kit vale 240 euro..
Pare difficile che con 240 euro si possa fornire pannello, batterie, centralina, quadro elettrico ...e pure cablaggi e lampadine..
Quasi quasi ce ne ordiniamo un paio.. appena sapremo il nome del fornitore..
Il tutto portato ed installato in villaggi sperduti e sparpagliati..
La vaga impressione che qualche solerte funzionario abbia attaccato uno zero..al numero delle capanne da illuminare..
Se alla fine si faranno 10mila installazioni forse sarà già un bel successo..
Con 2400 euro si pagano tutte le spese e restano un mille euro per le "spese burocratiche locali", per i corsi di istruzione al montaggio, per i convegni a Parigi o New Tork, per i corsi di aggiornamento, per le visite guidate ai fornitori..
Staremo a vedere.. nel senso vero della parola.. se poi, la sera, 100mila capanne avranno la luce..
Altri dettagli, come al solito, non sono disponibili..
Condizioni del finanziamento ( durata, tassi applicati etc. ) non sono noti..
Imprese aggiudicatrici, date di emissione della gare di appalto.. etc.
Ma questi "dettagli" forse si sapranno.. in un lontano domani..
Dopututto null'altro è richiesto agli africani..se non resistere!
Anche se "made in China.." e magari con qualche piccolo difettuccio..240 euro a kit sembrano pochi..
Oppure solo 10mila..
Informazioni non note..
Redazione
Dans les zones rurales très reculées de certains pays africains, l’accès à l’électricité des bénéficiaires à faible
revenu se fait encore par le biais de systèmes traditionnels et archaïques – lampes torches à pile ou lampes à pétrole
polluantes et extrêmement nocives pour la santé.
C’est en réponse à ce besoin latent, que le Conseil d’administration de la Banque africaine de développement (BAD) a approuvé,
la proposition visant à aider Zola EDF Côte d’Ivoire (ZECI), à mobiliser un prêt en monnaie locale de 15,75 milliards de FCFA
(soit environ 24 millions d’euros) arrangé par Société Générale de Banque en Côte d’Ivoire (SGBCI) et
Crédit Agricole Corporate and Investment Bank (Crédit Agricole CIB).
La Banque apportera une garantie partielle de crédit couvrant une portion de la facilité de prêt garanti, en guise d’élément
catalyseur.
Le véhicule ad hoc de financement en cours de création (NEoT CI) pour mobiliser le prêt privilégié adossé
à des créances a pour sponsor NEoT Offgrid Africa (NOA) plateforme d’investissement
spécialisée sur les énergies distribuées en Afrique, gérée par NEoT Capital et avec
pour investisseurs Meridiam et EDF.
Par ailleurs, la fondation Grameen Crédit Agricole participera au financement de ZECI et suivra les aspects sociaux
et environnementaux pour toute la durée de la transaction.
Le projet expérimentera une structure de financement pilote adossé à des créances
en monnaie locale afin de permettre à ZECI – une coentreprise à 50/50 créée par Off-Grid Electric (OGE) et EDF –
d’assurer l’accès aux systèmes solaires domestiques (SSD) prépayés à environ 100000 ménages supplémentaires vivant
en milieu rural en Côte d’Ivoire (CI), d’ici à 2020.
Cette opération serait la première structure de financement en monnaie locale, à grande échelle et utilisant la technique
de titrisation pour le secteur des énergies renouvelables hors-réseau en Afrique.
Le modèle commercial de ZECI, qui consiste à vendre des kits solaires répondants aux standards
internationaux de qualité, dans le cadre de contrats de location-achat, d’une durée de 3 ans
(création de créances prévisibles payables avec de l’argent mobile),
facilite l’accès des clients à revenus faible et moyen et mal desservis à une énergie propre.
En outre, il contribue à leur inclusion financière, notamment par le biais de la constitution d’historique de crédit,
ainsi qu’à l’accès au financement et à la propriété d’actifs.
Présentant le projet, les Directeurs du département de l’énergie renouvelable et
du département du développement du secteur financier, Messieurs Ousseynou Nakoulima et Stéfan Nallétamby
ont souligné la viabilité de l’opération, son alignement avec les High 5s de la Banque, notamment
« Éclairer l’Afrique et l’alimenter en énergie » (Nouveau pacte pour l’énergie en Afrique, en particulier en atteignant l’objectif
de 75 millions de ménages desservis d’ici à 2025,
Par ailleurs, M. Amadou Hott, Vice Président de la Banque africaine de développement en charge de l’Energie a précisé que,
Les membres du Conseil ont souligné la pertinence de l’opération proposée, qui complètera celle relative au
Projet de renforcement des réseaux de transport et de distribution (PRETD)
en Côte d’Ivoire (approuvée le 2 novembre 2016) en vue de financer le
enforcement des réseaux de transport et de distribution d’électricité,
en assurant l’accès à une énergie propre pour les ménages mal desservis.
Tout en fournissant de l’électricité propre, l’opération aura un impact substantiel
sur plusieurs ménages à revenus faibles dans les milieux ruraux et permettra également
d’améliorer les résultats en matière de santé, dans la mesure où elle contribuera
à réduire le recours au pétrole lampant nocif.
Elle devrait améliorer la situation socioéconomique de la population cible, en particulier des femmes.
Par le recours au paiement mobile, le projet fait la promotion de l’inclusion financière des populations rurales.
Il contribue également au développement du secteur financier grâce à l’expérimentation d’un modèle de financement adossé à des créances.
« Améliorer la qualité de la vie de tous les Africains »,
et le 3e Programme phare de la stratégie d’industrialisation qui consiste à
« créer des marchés de capitaux liquides et efficaces »,
en appuyant la mise au point de nouveaux mécanismes de financement innovants.
« le financement s’inscrit dans la droite ligne du Plan de développement national 2016-20 de la Côte d’Ivoire, du Plan stratégique
du secteur de l’énergie et du programme « Électricité pour Tous » (PEPT) mis en place par
es autorités ivoiriennes en vue d’électrifier toutes les localités d’ici à 2020. »
( BAD / G. Comerio )