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ref:topbtw-305.html/ 7 Maggio 2016/ B

Londra e Tunisia: Rothschild che va e Rothschild che viene..

Da Londra a Tunisi : la finanza araba nel guanto di velluto .

E cosi' il giovane Zac Goldsmith, ( nato il 20 Gennaio 1975 a Westminster ) ha perso la poltrona di Sindaco di Londra.. Il rampollo della ricca famiglia, e la consorte Alice Miranda Rothschild non rimpiangeranno di certo la poltrona di Sadiq Khan:
hanno pur sempre altre opportunità di incarichi di prestigio..

Insomma, se anche hanno versato qualche lacrimuccia sulle spese fatte, le loro sono pur sempre lacrime di Swarovsky..

Ma mentre a Londra il marito di Miranda era sconfitto, a Parigi si contava sull'assegnazione di un incarico meno "glamour" ma ben più consistente da parte del Governo Tunisino.

L'inchiesta del giornalista tunisino Ikhlas Latif rivela molte e dettagliate anomalie..

La piccola anomalia più mediaticamente bizzarra é il ritorno in scena di DSK ovvero dell'indomito Dominique Gaston André Strauss-Kahn ( 25 Aprile 1949 ) come "esperto finanziario" nonostante le diverse piccole pendenze giudiziarie ancora in corso e non più per vicende sessuali ma per truffa...

Certamente il piano finanziario elaborato dal gruppo Rothschild, che pare essere leggermene più oneroso - solo quasi il doppio - di quello dei concorrenti, permetterà alla Tunisia di compiere un notevole "balzo in alto "..

D'altra parte l'indomito DSK già aiuta a fare "un balzo in alto " all'economia della Giordania e della Serbia..
Con qualche tonnellata di Viagra ?

E se il balzo dovesse finire in un fosso ?
Poco male..
Con questi padrini la Comunità Europea sbloccherà qualche altro miliarduccio di euro..
In cambio di qualche piccola agevolazione..

Le vie dei Rohschild sono infinite..


- Appalti & Potere.. -

Révélations exclusives : comment Arjil/DSK/JA a ravi le marché tunisien à Rothschild

Le 22 avril 2016, le ministère du Développement, de l’Investissement et de la Coopération internationale annonçait l’attribution de l’appel d’offres relatif à la promotion du plan de développement 2016-2020 au Groupement Arjil Groupe Altium/Comete Engineering/Jeune Afrique Events.

A la suite de cette annonce, un autre soumissionnaire, en l’occurrence, le Groupement Edmond de Rothschild/Esl&Network, a contesté la décision de sa disqualification, exposant les circonstances « suspectes » de l’attribution de ce marché.

Le département de Yassine Brahim serait-il au cœur d’un scandale financier ?
Business News s’est procuré des documents donnant des détails précis sur cette affaire, qui ne finira pas de susciter la polémique dans les jours à venir…

Y a-t-il eu des interférences politiques au moment de la délibération sur l’appel d’offres relatif à la promotion du plan quinquennal de développement ?

Nous sommes en droit de nous le demander au vu des différents documents rassemblés.
Le matin même de l’attribution de l’appel d’offres, les dirigeants de l’un des participants (Jeune Afrique Events) étaient reçus en grande pompe par le consul de Tunisie à Paris qui s'est précipité à la publier, contrairement aux pratiques ordinaires, sur la page officielle du consulat sur Facebook.

Cette rencontre n’avait pas échappé aux dirigeants d'Edmond de Rothschild/Esl&Network et les a confortés dans « leurs suspicions quant à la récente attribution de l’appel d’offres ».

Une source proche du dossier avait indiqué à Business News qu’il a semblé à Edmond de Rothschild, « pour le moins curieux que le fondateur du Groupe Jeune Afrique accompagné de tout le staff familial qui le dirige, ait été présent auprès des représentants officiels tunisiens, juste avant la décision d’attribution de l’appel d’offres en question à Jeune Afrique Events et à ses partenaires».

C’est que l’annonce officielle avait été publiée par le ministère concerné, un peu plus de deux heures après cette rencontre…

« C’était à l’occasion de formalités administratives d’ordre strictement privé », précisera l’intéressé dans un droit de réponse envoyé à Business News qui a relevé les faits.

Outre cette drôle de coïncidence, Edmond de Rothschild/Esl&Network a relevé d’autres irrégularités pour le moins curieuses.

Il faut dire que les notations comparatives n’ont pas été publiées par le ministère, en même temps que l’annonce officielle et ce jusqu'à aujourd'hui vendredi 6 mai 2016.
Etant donné que le classé deuxième financièrement (Arjil/Comete/Jeune Afrique Events) est passé au rang de premier, le tableau des notations comparatives aurait permis d’indiquer dans la transparence de quelle manière le marché a été attribué.

Cette absence de publication de tableau soulève à elle seule les suspicisions.
Toujours d’après nos sources, le budget présenté par Arjil/Comete/Jeune Afrique Events est de 5 millions de dinars, contre 2,5 millions de dinars présentés par Edmond de Rothschild/Esl&Network.

En clair, le gouvernement tunisien a choisi le soumissionnaire le plus cher et dont l'offre passe du simple au double.

Il n’en fallait pas moins pour Edmond de Rothschild pour prendre la décision de convoquer une réunion de crise de leurs réseaux financiers internationaux en vue d’engager une série d’actions au vu du dossier d’appel d’offres.

Cette réunion aura lieu cinq jours après l'annonce publique du gouvernement tunisien.

Business News s’est procuré une correspondance entre Edmond de Rothschild et le président de la commission d’évaluation, Lotfi Fradi, exposant les raisons du rejet de l’offre technique.

Un rejet pour non-conformité (consulter le document en fac-similé).
Les motifs de la disqualification d’Edmond de Rothschild concernent deux experts.

Le premier, Gérard Askinazi qui n’aurait pas fourni une copie de son diplôme universitaire.
Le deuxième, Olivier Pastré, n’aurait pas fourni les justificatifs nécessaires des missions enregistrées durant les dix dernières années, selon la commission.

On notera que M. Pastré, est l’un des plus grands experts du monde financier et ancien DG de la banque d’affaires tunisienne IM Bank !

Le ministère ayant avancé que ces raisons sont éliminatoires, alors que normalement ce sont les notes qui auraient été revues à la baisse.

"En aucun cas de tels motifs ne pouvaient aboutir au rejet du dossier dans sa totalité", relève un expert financier consulté par Business News.

Au vu des biographies (publiques et consultables sur Wikipédia) de MM. Pastré et Askinazi, les motifs opposés officiellement par M. Fradi paraissent comme s'ils étaient fallacieux.

Nous savons aujourd’hui que l’ancien directeur général du FMI, Dominique Strauss-Kahn sera associé au Groupement Arjil pour la mise en œuvre et la promotion du plan de développement.

Or, DSK a été retenu, alors qu’il était indiqué dans le cahier des charges que ne peuvent pas être retenus des experts qui ont des problèmes d’ordre judiciaire.
Il ne s’agit pas là de revenir sur les déboires relatifs à des affaires de mœurs de l’ex-responsable du FMI, puisque la justice a tranché.

Le hic, c'est que DSK a encore des affaires pendantes.
Une récente information judiciaire a en effet été ouverte contre lui par le parquet de Paris le 7 mars dernier, et ce pour escroquerie en bande organisée, abus de biens sociaux et abus de confiance.

Une enquête est ouverte sur la société d’investissement luxembourgeoise LSK (Leyne, Strauss-Kahn and Partners), présidée par Dominique Strauss-Kahn jusqu’en octobre 2014.

Plusieurs plaintes ont été déposées par d’anciens actionnaires, estimant qu’on leur a présenté une situation financière de la société non-conforme à la réalité.

Cela dit, DSK est retenu, contre toute attente et contrairement au cahier des charges, comme expert, aux côtés de Béchir Ben Yahmed, afin de conseiller la Tunisie…

Ceux-là mêmes qui ont retenu DSK ont rejeté (pour absence de présentation de diplômes) des experts de renommée internationale !

A partir de là, Edmond de Rothschild a convoqué une réunion ad hoc des leurs réseaux internationaux à Paris, consacrée à la Tunisie et aux résultats de l’appel d’offres pour la promotion du plan quinquennal de développement.

Business News est en mesure d’en révéler la teneur (voir le document en fac-similé).
La déclaration officielle d’Edmond de Rothschild date du 29 avril 2016 et a été directement transmise au seul gouvernement tunisien il y a de cela 3 jours.

Comme l’atteste le texte de la déclaration, que Business News a réussi à se procurer en exclusivité, Edmond de Rothschild a pris une décision inattendue au vue des éléments précédents.

Ainsi, ses dirigeants ont décidé de ne pas déposer de recours, ni d’action en référé de sursis à exécution, auprès des instances judiciaires ni du Tribunal administratif tunisiens, ni de contester ce qu’ils considèrent comme assertions futiles quant à leurs propres experts, pour justifier leur éviction.

N’ayant pas eu, non plus, d’explications sur le fait que Dominique Strauss-Kahn ait été validé en dépit des poursuites judiciaires actuellement entreprises contre son fonds d’investissement, ils ont décidé d’ignorer ces « singularités» et de considérer que « l’Etat tunisien est seul souverain et libre de décider du bénéficiaire final de la consultation ».

Edmond de Rothschild décide donc de prendre de la hauteur et de s’engager sur une lancée constructive en lançant le premier Fonds stratégique de financement et de développement au profit de la Tunisie.

Ce projet a été révélé la semaine dernière au gouvernement de Habib Essid (voir le document en fac-similé).

Sur les raisons d’un tel revirement, alors que les conditions de l’adjudication de l’appel d’offres par le ministère de Yassine Brahim, ne leur ont pas été favorables, nous n’avons aucune information.

Le texte de la déclaration précise qu’Edmond de Rothschild a convenu « de mettre ces leviers essentiels aux financements et au développement de l’économie tunisienne, à la disposition du gouvernement tunisien »…

A la lumière de ces multiples péripéties ayant entouré l’attribution de l’appel d’offres sur la promotion du plan de développement 2016-2020, il est évident que le climat tunisien des affaires n'est pas encore sain, en dépit des promesses du gouvernement et de Yassine Brahim.

C'est la deuxième fois que ce marché déclenche une polémique.
La première fois, ce fut le député Mehdi Ben Gharbia qui a crié au scandale après l'octroi du même marché à la banque Lazard sous la formule de gré à gré.

La polémique était telle que le gouvernement a dû se rétracter pour préparer un appel d'offres et agir selon les règles.

Les documents présentés ci-dessus, la non-publication des notes comparatives, la coincidence de Jeune Afrique, les motifs de rejet des experts et le nom de DSK montrent tous que les règles ne sont toujours pas respectées.
nous avons répertorié de nombreux éléments invalidant ses résultats.
Dans l’attente d’une réaction du département du Développement, de l’Investissement, et de la Coopération internationale...

(Enquête menée par Ikhlas Latif)

( Giorgio Comerio )


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