In Tunisia si sono manifestati i primi casi di peste dei montoni che, fra una ventina di giorni,
verranno sgozzati per il "sacrificio" dell' Aid el Adha.
In Tunisia vi è poi il problema dell'acquisto del montone, ormai troppo costoso per la maggioranza dei tunisini.
Per questo motivo forse verrà annullata la festività, con grande disappunto degli allevatori che comunque contano sulla loro vendita,
con o senza peste, per far quadrare il bilancio.
In realtà il sacrificio del montone non è affatto imposto dal Corano, ma, in teoria,
sarebbe solo un modo per i più ricchi, e solo per loro, per offrire del cibo gratuito ai più poveri.
Ma è diventato uno "status symbol".
Chi mai ammetterà di essere "povero" e di non potersi permettere il suo montone ?
Ma non è solo un motivo di prestigio personale.
In realtà lo sgozzamento e la morte per dissanguamento avviene in famiglia
con il padre che insegna ai più piccini, sia maschietti che femminucce,
come si sgozza l'animale comprato da tempo ed accudito nel cortile di casa.
E' quella parte di insegnamento che viene ripetuta ogni anno e per la quale poi l'atto dello sgozzamento
di un nemico, oppure dela sua decapitazione, è assolutamente facile e naturale .
Insomma tutti gli islamici sono ben addestrati all'uso del coltellaccio rituale, ricurvo ed affilato, atto allo sgozzamento,
e dei vari coltellini accessori che vengono poi utilizzati per lo sventramento e lo svisceramento del montone.
Ma non solo.
Nelle date previste , dal giorno 12 al giorno 14 a seconda delle Nazioni islamiche,
sarebbe molto carino se qualche eroe si sacrificasse per la causa.
E poi in USA il sacrificio sarebbe ancora più significativo data la concomitanza con la ricorrenza dell'undici settembre 2001.
Quindi sarà l'ISIS a ricordarlo agli europei ?
Ed in Italia ?
Assisteremo agli sgozzamento casalinghi, a quelli negli hotel
o nei campi di accoglienza ?
Le nostre Autorità si stanno preparando alle date che vanno dal giorno 12 al giorno 14 settembre,
date ampiamente previste dai calendari islamici, oppure resteranno "sorprese e sbigottite" perché
non al corrente delle consuetudini islamiche ?
Chissà se i servizi di "intelligence" informeranno chi dovrebbe essere preposto
ad evitare macellazioni illegali e pratiche islamiche non ammesse nella nazione Italiana .
Staremo a vedere..
16 Agosto - LA NOTIZIA DALLA TUNISIA
Fadhel Achour, secrétaire général du syndicat des imams tunisiens, était l’invité de la matinale sur Mosaïque FM ce mardi 16 août 2016 pour
s’exprimer sur le dépôt d’une demande de fatwa auprès du mufti de la République en raison du virus de la peste contracté par 46 agneaux tunisiens.
Au micro de Jihene Miled, Fadhel Achour a déclaré que :
Des indicateurs prouvent que cette fatwa est justifiée ».
A la question :
Les moutons adultes ne sont pas atteints car ils disposent d’une immunité plus grande que celle de leurs progénitures.
Pour annuler la fête du sacrifice, Fadhel Achour a également invoqué le portefeuille du Tunisien.
Du point de vue moral, la législation coranique issue de la Sunna exige qu’avant d’entreprendre
l’achat du mouton pour son sacrifice il faudrait, d’ores et déjà, relever le niveau d’éducation au sein
de la cellule familiale, selon Fadhel Achour.
Suite à ces déclarations, Anis Berraïana, le chargé de communication au ministère de l'Agriculture,
a dans un droit de réponse accordé sur les mêmes ondes, indiqué que cette fatwa n’a pas lieu d’être
et que le mufti de la République est plus compétent pour décider du maintien ou de l’annulation
de cette fête religieuse.
Dans son passage radio, il a déclaré que :
Sur l’idée d’annuler Aïd El Idha, il a ajouté qu’aucun précèdent n’existe en la matière et que tous les moutons
sont sous contrôle.
Il a ajouté que quatre foyers de maladie ont été détectés à Bizerte, à la Manouba et deux autres à
l’Ariana.
Il a également ajouté que sur ce sujet, les Tunisiens doivent d’abord se fier aux informations émanant du ministère de l’Agriculture.
Sur les symptômes du virus de la peste contracté par les moutons, il a ajouté qu’il s’agit de déceler chez
l’animal des problèmes respiratoires, un état d’abattement généralisé et des écoulements oculaires et nasaux.
« Les conditions légales et d’hygiène en vue de la fête du sacrifice ne sont pas réunies et c’est en cela que nous avons
l’obligation de déposer cette fatwa,avant tout, pour garantir la santé des consommateurs.
« Tous les moutons sont-ils malades ? »,
le secrétaire général du syndicat des imams a répondu que seuls les petits agneaux sont atteints par le virus de
la peste et que 46 d’entre eux sont morts des suites de ce virus.
A ce sujet, il a déclaré que :
« Le Tunisien qui ne possède que sa force de travail, il n’a pas les moyens de se payer un mouton à 500 dinars et, ce, qu’il soit employé
dans le secteur public ou privé.
Financièrement parlant, ce Tunisien vit au jour le jour, s’endetter pour un mouton n’est pas digne des prescriptions
religieuses relatives à la fête du sacrifice ».
« Le virus en question n’est pas transmissible à l’homme ».
A propos de virus détecté à Kairouan et Beni Khalled, Anis Berraïana a indiqué qu’il s’agit de rumeurs
et que tous les troupeaux de moutons sont en train d’être passés au peigne fin pour un contrôle des plus approfondis par des équipes
de vétérinaires.
