Comment est née l’idée de Fashionomics ?
L’initiative est née de la volonté de L’Envoyé spéciale pour les questions de genre, Madame Geraldine Fraser-Moleketi, qui percevait
en ce projet le potentiel de développer l’emploi des jeunes en Afrique, plus particulièrement des jeunes femmes, qui constituent
la majorité de la force de travail de l’industrie de la mode et du textile.
Fashionomics est-elle dédiée à l’Afrique subsaharienne ou englobe-t-elle aussi l’Afrique du Nord aussi ?
L’initiative est panafricaine.
Quand le site Internet dédié sera-t-il officiellement lancé ?
Nous sommes actuellement en phase de finalisation du prototype, jusqu’à fin 2016.
La plateforme sera opérationnelle au premier trimestre 2017.
Quelles sont les prochaines étapes de l’initiative ?
Une opération de marketing pour faire connaître la plateforme va être lancée sur les réseaux sociaux et
le projet sera présenté en détails dans trois capitales africaines et une capitale européenne, aux principaux acteurs
du secteur, à des financiers importants et aux donateurs désireux de nouer des partenariats avec la Banque.
Il faut aussi continuer d’étoffer la base de données qui enrichira la plateforme avec toutes les informations
relative aux créateurs, producteurs, acheteurs, vendeurs, investisseurs et partenaires financiers.
Enfin, nous allons mettre en place une stratégie pour finaliser les différentes fonctionnalités que propose
la plateforme Fashionomics et recruter un partenaire tiers qui sera chargé d’en gérer la version finale.
Le site Internet sera public dès le premier trimestre 2017.
Elle inclue donc tous les pays africains, et même la diaspora.